19 décembre 2008
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Eugène Boudin 1824/1898
Charles Baudelaire est le premier, en 1859, à évoquer l’existence dans
L’atelier de Boudin de « plusieurs centaines d’études au pastel improvisées
En face de la mer et du ciel », les qualifiant de « prodigieuses magies de l’air et de l’eau ».
Quant à Gustave Courbet, compagnon de peinture, il s’exclame: « Vous êtes un séraphin.
Il n’y a que vous qui connaissiez le ciel ». Eugène Boudin a peint les yeux
Rivés vers le ciel, obnubilé par les changements atmosphériques et la course
Des nuages au dessus des plages Normandes. Certaines de ses esquisses, au début
Comme à la fin de sa carrière,se concentrent sur ce seul élément
Dont il cherche à traduire tout à la fois la poésie,
La majesté et l’évanescence.
Charles Baudelaire est le premier, en 1859, à évoquer l’existence dans
L’atelier de Boudin de « plusieurs centaines d’études au pastel improvisées
En face de la mer et du ciel », les qualifiant de « prodigieuses magies de l’air et de l’eau ».
Quant à Gustave Courbet, compagnon de peinture, il s’exclame: « Vous êtes un séraphin.
Il n’y a que vous qui connaissiez le ciel ». Eugène Boudin a peint les yeux
Rivés vers le ciel, obnubilé par les changements atmosphériques et la course
Des nuages au dessus des plages Normandes. Certaines de ses esquisses, au début
Comme à la fin de sa carrière,se concentrent sur ce seul élément
Dont il cherche à traduire tout à la fois la poésie,
La majesté et l’évanescence.
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