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11 novembre 2007 7 11 /11 /novembre /2007 09:40


Aucune allusion sexuelle . Ici c'est un blog raisonnable.


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10 novembre 2007 6 10 /11 /novembre /2007 17:00




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10 novembre 2007 6 10 /11 /novembre /2007 16:58


 Norman Mailer est décédé aujourd'hui .

"Un rêve americain "  fait  partie des romans qui ont marqué
mon adolescence avec "le Maitre et Marguerite "de Boulgakov.

Biographie.

31 janvier 1923
Norman Kingsley Mailer, petit-fils d’un rabbin de Vilnius, est né, de parents juifs,
à Long Branch dans le New Jersey. Son père, né en Russie est comptable.
1940
Bagarreur, il est surnommé "le Lion" ou "Testosterone Kid".
Intelligent et performant à l’école, il rentre à Harvard pour suivre
des études d’ingénieur. Il rejoint le Harvard Advocate, le journal de l’université.
1941
Lors d’un concours de littérature organisé par la revue Story, il remporte
le premier prix avec The Greatest Thing in the World (La plus grande chose de la terre)
et voit sa première nouvelle publiée.
1945
Il se marie pour la première fois avec Beatrice Silvermann.
Il est envoyé combattre aux Philippines.
1947
Il séjourne à Paris où il rencontre Jean Malaquais, de quinze ans son aîné.
Ce marxiste anti-stalinien, proche d’André Malraux et fou de littérature,
devient son mentor et son traducteur en France. Inscrit à la Sorbonne, Norman Mailer
ne met les pieds à l’université que pour toucher sa pension.
Aux Etats-Unis, il se rend pour la première fois à Provincetown, station balnéaire
située à la pointe de Cape Cod, dans le Massachusetts.
Il débute là l’écriture de son premier roman.
1948
Les nus et les morts, inspiré de sa guerre dans le Pacifique est publié.
Cette épopée d’une poignée de GI’s tentant pendant la Seconde Guerre mondiale
de reprendre aux Japonais une île du Pacifique, lui vaut une gloire immédiate.
1949
Il est contacté par Hollywood pour écrire un scénario, mais le projet n’aboutit pas.
Il commence sa collaboration journalistique avec les revues Esquire et Dissent.
1950
Il rencontre, à Manhattan, Adele Morales, ex de Jack Kerouac.
1951
Rivages de la barbarie, son nouvel ouvrage, déçoit le public qui attend un nouveau
récit de guerre au lieu de ce livre de gauche, entreprise de démolition de la société américaine.
1952
il divorce de Beatrice Silverman.
1954
Il épouse Adele Morales avec laquelle il aura deux enfants.
1955
Son troisième roman, Le parc aux cerfs, est une violente charge contre
les mœurs hollywoodiennes. Il est à l’origine de la fondation de l’hebdomadaire
new-yorkais,
The Village Voice, un magazine culturel de gauche.
1959
Il se décerne le titre de «romancier le plus influent de l’Amérique contemporaine».
1960
Il veut se porter candidat à la mairie de New York mais un événement l’en empêche.
Après un dîner passablement arrosé, Norman reconduit ses invités jusqu’au
trottoir devant son immeuble de Greenwich Village. Il se bagarre avec eux et
rentre couvert de sang à quatre heures du matin, complètement ivre.
Adele, sa deuxième femme, le provoque. Le romancier voit rouge, prend un canif et
la frappe à quelques millimètres du cœur. «C’est la seule action que je regretterai toute ma vie.
C’est arrivé à cause de ma façon de vivre, il n’y a aucun doute. J’étais de plus en plus
porté sur la violence et c’est arrivé». A peine guérie, Adele refuse de porter plainte
et sauve ainsi Norman de la prison. Il séjourne quelque temps à l’hôpital psychiatrique.
1963
Il rencontre pour la première fois le boxeur Mohammad Ali à Las Vegas.
1965
Parution d’Un rêve américain, inspiré par la tentative de meurtre sur sa femme.
1967
Norman Mailer passe derrière la caméra et réalise son premier film, Wild 90.
En pleine guerre du Viêtnam, il écrit Pourquoi sommes-nous au Viêtnam ?
Le 21 octobre, il participe à la marche sur le Pentagone à Washington.
Une des plus mémorables manifestation contre la présence américaine en Asie du Sud-Est.
En tête du cortège, il est arrêté et libéré dès le lendemain matin.
1968
Il réalise son deuxième film, Au-dessus des lois, toujours de facture expérimentale.
1969
Candidat démocrate à la mairie de New York, il commence ses discours
par «Allez vous faire foutre !». Il recueille 41 000 voix et arrive quatrième sur cinq.
Il obtient le National Book Award et le prix Pulitzer pour Les armées de la nuit.
Il observe depuis cap Canaveral la fusée Apollo s’envoler vers la Lune et
tourne son troisième film, Maidstone.
1971
Son pamphlet antiféministe, Prisonnier du sexe, déclenche une intense polémique.
Lors d’un talk-show à la télé américaine, il adresse dans les coulisses
un coup de boule à l’écrivain Gore Vidal.
1973
Il écrit la biographie de Marilyn Monroe.
1974
Il assiste, comme reporter, au championnat du monde poids lourds
entre George Foreman et Mohammad Ali à Kinshasa, au Zaïre.
Le combat du siècle, le récit de cet événement sortira en France en 2000.
1975
Il partage sa vie avec la peintre Barbara Norris Church.
1980
Le jury du prix Pulitzer couronne Norman Mailer une seconde fois
pour Le chant du bourreau. L’écrivain emmène le lecteur dans
le couloir de la mort auprès de Gary Gilmore, un condamné qui exige qu’on l’exécute.
Norman Mailer épouse Barbara Norris, (sa sixième femme) avec laquelle il a son
dernier fils, John Buffalo. Norman Mailer est père de neuf enfants.
1981
Six semaines après sa mise en liberté, Jack Abbot, ce prisonnier avec
lequel Norman Mailer correspondait et qu’il fit venir à New York
après sa libération, assassine un serveur dans l’East Village.
«Quand le crime a eu lieu , j’ai su que j’avais une responsabilité dans celui-ci.»
1984
Il est élu président du PEN Club américain (association d’écrivains) jusqu’en 1986.
1996
Il suit la campagne présidentielle américaine et la victoire de
Bill Clinton pour la revue Observer life.
1997
La seconde femme de Mailer, Adele Morales, publie
The Last Party - Scenes from my life with Norman Mailer. Dans ce livre, elle le présente
comme un monstre pervers.
1998
Polémique après la sortie de L’Evangile selon le fils, «l’autobiographie» de Jésus
d’après Norman Mailer.
2002
Le combat du siècle paraît au format poche chez Gallimard.
King Lear de Jean-Luc Godard, dont Mailer a signé le scénario, ressort sur grand écran.

En 1975 Norman Mailer déclarait :
"Relisant la majorité de mon oeuvre (...) il devenait apparent que la plupart
de mes écrits portaient sur l'Amérique. Combien j'ai aimé mon pays -- c'était évident -- et
combien je ne l'ai pas aimé du tout! Notre noble idéal de démocratie a toujours été trahi,
noirci, exploité et réduit à un patriotisme systématiquement sans réflexions",
écrit Norman Mailer dans son introduction. "Et chaque décennie,
notre grand pays est de plus en plus exposé à tous les ravages de l'avidité, poursuit-il.
Une question se posait alors, effectivement: l'avidité et
l'hégémonie du médiocre -- les médias -- triompheront-elles de la démocratie?"
A la fois romancier, journaliste, poète, metteur en scène, scénariste,
acteur de cinéma à l'occasion, candidat à la mairie de New York en 1969,
n'aimant rien tant que de confondre les genres comme dans la biographie romancée de
Marilyn Monroe, Norman Mailer s'est employé toute sa vie à ruer dans les brancards
et à crier ses colères et ses rages. Emprisonné à plusieurs reprises dans les années soixante
pour rixes, mais aussi en 1967 pour avoir dénoncé l'engagement américain au Vietnam,
l'écrivain s'est fait de nombreux ennemis, en particulier chez les féministes,
pour ses propos souvent très politiquement incorrects sur les relations
entre les hommes et les femmes. Il sera traité de "dernier cochon mâle chauvin"
par Kate Millet, l'une des principales figures du féminisme américain.
Les coups de couteau portés à sa seconde épouse, Adèle, en 1962, lors d'une crise
d'ébriété, ne feront rien pour arranger les choses. Lui qui était à l'époque
l'une des personnalités intellectuelles les plus en vue, notamment pour avoir
créé au milieu des années cinquante la revue de gauche Village Voice
fut placé en observation dans un asile psychiatrique pendant quinze jours.
Le couple divorcera un peu plus tard. Norman Mailer vit aujourd'hui
avec sa sixième épouse, partageant son temps entre Brooklyn et le Massachusetts.
Il est le père de neuf enfants. Mais l'écrivain a toujours des idées très arrêtées
et particulières sur les femmes. Dans une interview à la chaîne de télévision NBC,
il assurait récemment que "les femmes vont s'emparer du monde". Il existe, ajoutait-il
le plus sérieusement du monde, "une possibilité réelle de voir, dans une centaine d'années,
une société peuplée uniquement de femmes et où les hommes, réduits au nombre
d'une centaine, devront assurer des fonctions de procréation".
Tout en reconnaissant que certaines de ses oeuvres n'ont pas résisté au temps,
il avoue sa fierté intacte pour quatre romans, et notamment Les Nus et les Morts,
ainsi que Harlot et son fantôme, vaste fiction autour de la CIA.
Il souhaite donner une suite à ce dernier livre. Véritable râleur professionnel,
adorant la provocation, Norman Mailer n'est toujours pas plus tendre
pour
le monde contemporain.

"Il me semble que l'Amérique est devenue
bien plus laide ces 25 dernières années".



Bibliographie

The Castle in the Forest  2007
Pourquoi sommes-nous en guerre ?, éd. Denoël, 2003
Le combat du siècle, éd. Denoël, 2000
L’Amérique. Essais, reportages, ruminations, éd. Plon, 1999
L’évangile selon le fils, éd. Plon, 1998
Oswald. Un mystère américain, éd. Plon, 1995
Harlot et son fantôme, éd. Robert Laffont, 1992
Morceaux de bravoure, éd. Gallimard, 1992
Publicités pour moi-même, éd. Arléa, 1989
Les vrais durs ne dansent pas, éd. Robert Laffont, 1984
Le combat du siècle, éd. Clancier-Guénaud, 1988
Nuit des temps, éd. Robert Laffont, 1983
Vie et débauche : voyage dans l’œuvre d’Henry Miller, éd. Buchet-Chastel, 1983
Mémoires imaginaires de Marilyn, éd. Robert Laffont, 1982
Le chant du bourreau, éd. Robert Laffont, 1980
Un caillou au paradis et autres nouvelles, éd. Robert Laffont, 1974
Marilyn, éd. Albin Michel, 1974
Prisonnier du sexe, éd. Robert Laffont, 1971
Bivouac sur la lune, éd. Robert Laffont, 1971
Les armées de la nuit, éd. Grasset, 1970
Pourquoi sommes-nous au Viêtnam ? , éd. Grasset, 1968
Un rêve américain, éd. Grasset, 1967
Le parc aux cerfs, éd. Presses de la Cité, 1956
Rivages de la barbarie, éd. la Table Ronde, 1952
Les nus et les morts, éd. Albin Michel, 1950
 


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10 novembre 2007 6 10 /11 /novembre /2007 11:37
Photographies  Auguste Belloc .

Né en 1800, Auguste Belloc travailla d'abord comme miniaturiste
et aquarelliste avant de découvrir la photographie.

Vers 1845, il s'enthousiasma pour la découverte du collodion humide,
en raison de la finesse des rendus, et fit des recherches pour obtenir un meilleur
support pour le négatif. Il s'installa dans un studio au 5, Boulevard Montmartre
et se spécialisa dans le portrait et le nu.

En 1853, après avoir inventé de nouveaux procédés,
il publia son premier livre sur la photographie.

En 1854, il déménagea au 16 rue de Lancry et devint membre
fondateur de la Société Française de Photographie.

Considérant alors le daguerréotype dépassé, il préféra le colodion
humide et se passionna pour la stéréoscopie.

Après avoir édité plusieurs ouvrages, il inventa de nouveaux systèmes
pour les appareils et travailla pratiquement jusqu'à sa mort en 1867.

Belloc peut à juste titre être considéré comme un pionnier de la photographie du nu féminin.

Ce sont les photographies dont s'est inspiré Courbet .




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9 novembre 2007 5 09 /11 /novembre /2007 22:16



Jean-Pierre Pincemin est né en 1944 à Paris. Son parcours en tant qu'artiste
est fait d'allers-retours. Il commence par réaliser peintures et sculptures
au milieu des années soixante. Figure importante du mouvement Support-Surface
qu'il a rejoint en 1971, il abandonne le pinceau et compose directement
sur la toile avec des bouts de grillage, de tôle, plongés dans la peinture,
en adéquation avec les préceptes du mouvement qui font des éléments matériels
nécessaires à la peinture le sujet même de leur oeuvre.
Il reprend le pinceau au milieu des années soixante-dix pour composer
des toiles abstraites. Plus tard il reviendra à la sculpture.
Picturalement, il s'inspire depuis quelques années d'enluminures, de miniatures
ou encore de gravures anciennes
Il disparaît le 17 mai 2005.

Pincemin est un vrai peintre, pas un fabricant d’images ou de « style ».
C’est avant tout un homme libre qui ne se soucie ni des modes, ni
Des contingences financières, ni des mondanités.





Ci dessous une mini retrospective de sa peinture au carré Saint Vincent à Orléans
(en ce moment jusqu'au 25 novembre)




Vue de l'exposition



Années 80


1980/85


1990 ...


2000 ....


2000 ...


Quelques toiles et sculptures. 1980/2004






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9 novembre 2007 5 09 /11 /novembre /2007 21:39






Ornithorynque Gonflé Mexicain.





Oryctèrope Gravement Malade




Ours Grec Militant



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9 novembre 2007 5 09 /11 /novembre /2007 09:30




Vive les OGM

Aidez nous à soutenir les OGM ,ceux-ci sont
En effet en grandes difficultés.
Ils ont toujours été oppressés, fauchés, tondus, voilà
Un vrai scandale que personne ne défend !
C’est plus facile d’être contre, bien sur,
Encore faudrait-il connaître le problème !
Et non pas écouter les informations détournées.

Ceux qui veulent rejoindre le camp des défenseurs
Des Ouzbeks Généralement Maltraités :

Rendez vous ici.




ICI

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9 novembre 2007 5 09 /11 /novembre /2007 06:23









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8 novembre 2007 4 08 /11 /novembre /2007 17:41











J'ai fait ce montage en janvier 2007, d'après les dernières études
Des climatologues ,on peut titrer PARIS 2025 . 

Ca va vite !




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8 novembre 2007 4 08 /11 /novembre /2007 10:06









Tant qu'on a la télé on s'en tape de la montée des eaux...

Dans 15/20 ans la banquise aura fondu ...
Elle a déjà diminué de moitié en 50 ans.
Paris sera donc bientôt sous les eaux.
Il faudra mettre des bateaulib à la place des vélibs.



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