Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
20 novembre 2005 7 20 /11 /novembre /2005 19:23
Deux vis sans fin qui s’imbriquent dans le velours
Moquettes épaisses ou le plus grand des cris
 Oublie ses extrêmes pour nager entre deux eaux
Plus proche des abysses que de la surface …

Fugue et contrepoint de note bleuie par la blancheur,
Chet et Gerry, Tom et Jerry, !  inséparables
Toujours en osmose et opposition  
Révolution de velours, attaques de l’intérieur !

Claquement sourd des clapets du baryton,
Sur les mots sonnants de la trompette
Soufflés  de sens et de salive à 35°
Questions, réponses, jeu des milles ans.

Ordre et flexion, réflexion sans désordre.
Rythmique de pas de chats dans la neige
Gros flocons venus des cieux qui couvrent
La planète des sons de la peau effleurée.

The Gerry Mulligan Quartet
Gerry Mulligan saxophone baryton, Chet Baker, trompette
Carson Smith, basse, Chico Hamilton, drums
Chez Capitol  années 1952/53
Partager cet article
Repost0
20 novembre 2005 7 20 /11 /novembre /2005 18:00
Partager cet article
Repost0
20 novembre 2005 7 20 /11 /novembre /2005 17:19
Partager cet article
Repost0
20 novembre 2005 7 20 /11 /novembre /2005 17:17
Partager cet article
Repost0
20 novembre 2005 7 20 /11 /novembre /2005 14:29
Partager cet article
Repost0
20 novembre 2005 7 20 /11 /novembre /2005 11:01


Rouge sur blanc rien ne bouge!
Partager cet article
Repost0
20 novembre 2005 7 20 /11 /novembre /2005 09:13


Voila qui devrait nous rechauffer!
Partager cet article
Repost0
19 novembre 2005 6 19 /11 /novembre /2005 18:23


Au début!
Partager cet article
Repost0
19 novembre 2005 6 19 /11 /novembre /2005 16:53
Comme si avec un gros marteau de caoutchouc
Le droit nous était accordé de frapper d’un swing
Une peau hypertendue d’une gauche de dingue !

Créer le plein sans crever le vide
Pas facile de parler d’Elvin tant il impose…Et combat !
Les mots sont déjà du passé dans la pulsion du son présent.

Le son du scanner de l’intérieur  du quaternaire, et du bronze martelé.
Chocs pas chics, ni chiches, chocs qui choquent,
Les  ombres  passent, les bleus restent...
Elvin cogne et cogne encore la porte de l’au-delà.
Partager cet article
Repost0
19 novembre 2005 6 19 /11 /novembre /2005 16:15
Mac Coy , soit la main qui scande lorsque l’autre bande
L’une affirme, l’autre s’envole, et les deux rendent.
Reversent dans le puit sans fin de nos pulsions sans fonds
Tous les désirs  jamais énoncés de nos phantasmes à venir…

Cinq notes collées par trois doigts, un doigt qui décolle, et retient.
Pivot d’un monde, accord désaffecté, usine à rêves
Espace sans mots, os en place, colonne d’air rectiligne
D’un souffle inépuisable.

Minuscules muscles invisibles des doigts, reliés au ciel de la nuit,
Que trop d’étoiles percent, pour pouvoir en nommer une seule.
Mélodie, petite fleur des champs de coton jadis,
De jade et de tons Today.

Tyner , nerf de la guerre contre les sons morts et sans vie
La touche malmenée, car de chair et d’ivoire
De noir est noire et de blanche est blanc,
Mariage mixte….
Partager cet article
Repost0