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1 janvier 2007 1 01 /01 /janvier /2007 00:00






C'est vrai que c'est complètement différent!



Devant l'afflux des commentaires, cartes de voeux ,presents,
Dons en espèce et en nature ,chèques voyages,
Tickets
restaurants, corbeilles de fruits exotiques
Musaraignes empaillées, chemises Lacoste , soupe
D'étrille de Belle Ile, et trois saxophones baryton Selmer
Vous comprendrez que je ne puis vous repondre
individuellement.
 Mes services sont débordés et si ça doit
Me coûter plus cher en salaires et charges sociales ,
Ce n'est
pas la peine.

Je vous demande de vous arrêter ...comme
Disais mon ami Edouard.



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31 décembre 2006 7 31 /12 /décembre /2006 18:26









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31 décembre 2006 7 31 /12 /décembre /2006 07:01








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30 décembre 2006 6 30 /12 /décembre /2006 22:52















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30 décembre 2006 6 30 /12 /décembre /2006 14:54






Je suis trop bon ,vous ne réalisez même pas que c'est votre année 2006
Qui défile sous vos yeux! Des perles aux cochons.
Je suis un incompris.



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30 décembre 2006 6 30 /12 /décembre /2006 14:28


Git d'une oeuvre editée ou enregistrée ou reproduite !
Pour simplifier parue dans le commerce et permettant à son auteur
D’en vivre.

Concernant les blogs je trouve que cette mention fait montre
Avaler les sons, clapets boisés d’ébène, hirondelles
Triolet debout,   notes éparses à rassembler
Trois bois, caisses à résoudre, tuyaux à tordre.
Instants dépassés, cuir blanc, bois noir

Leurs chefs d’œuvres, (comme il en paraît un millier à chaque seconde
 dans le monde ) n’ont qu’a trouver qui des éditeurs,qui des galeries
Je ne le sais pas non plus Interruption, blanche…
La vie souffletée, de deux mains
Enveloppée, Do dièse, braises soufflées
Accords de trop, toujours trop de notes
Trop de fautes sans accords.
jamais les canons.
Car, égards, regards, ras de quatre, ras de vies.
Charleston air fin air chuuuut.
Fin des temps qui ne meurent jamais.
Mailloches perdues par hasard sur des peaux
corps noir, requin d’équinoxe,
Je te retiens, toi le temps ,  mais te lâche car
N’en peu plus…
Accord de septième minute sans médiator
Milliers d’uniques.
James Brown, tu fais parler même le silence.

C’était un dimanche pluvieux, où les jours semblent des nuits,
Nuits qui s'envolent dans les brumes de Persée .
Par la croisée antique je pouvais
Discerner dans ces paysages désolés ,hantés par quelques freux
Corbeaux, des horizons sans fin qui présageaient de la chute.

Isher me dit mon voisin, Ahmed, si c’est Isher ça m’intéresse
Lui retorquequ’je, Tu n’as pas de  Poe , Edgar, car je m’appelle
Edgar (de Lyonvinmile) la dernière chute qui me restai
Né du feu et de la tempérance, Carmen et Paulin, milieu de l’Atlantique
Rencontre des mondes nouveaux et anciens,, Gulf Stream qui mélange.

Faisons en sorte que le monde qui s’ouvre à toi jamais ne se ferme

Contrôler, tout contrôler, pas d’excès, ne pas dire
Ne pas vivre ? ou vivre longtemps, pourquoi ?
Préserver, protéger, vivre sous capote
Donc faire capot un jour ou l’autre.
 Vivre le fil de la vie, sans peur des vertiges

Horace le pique pour le mieux évaporer.
Le sang des sens, sans lequel aucun son n’est viable.
Position extrême sur le temps qui le fait vaciller
Et le justifie, attaquer les instants de l’impossible
Celui  où le futur devient une redite du passé

Clarinette, ne pas être, roseau fendu fait naître,

Sur Pacifique.
tendu de peaux animales
 Jimmy Garrison, archet des octaves.
Cornes de cordes
Pas Romain.
 Musique bandant toujours, Désir
Trop lourde la tête pour porter l’incendie
Trop legers ceux qui peuvent l’entendre
Dialogue avec soi pour eviter le monologue.

es décideurs « culturels » comme
Beaucoup, dont je ne citerai pas les noms une deuxième fois
Voire article …
Aurait été encenseur et d’une hypocrisie sans nom.
Comme le sont tous ces petits artistes, vedettes régionales

Contrairement à eux j’ai (j’avais) de bonnesSorte de pantin articulé au bout du piano
Monstre noir qui pèse et pèse  et pourtant vole.
 Deux mains noueuses, racines de la pierre,
La pierre de l’air, celle qui vole, vole les notes, Steinway
 relations avec les élus
(Et ai même toujours défendu certains contre des Ragots « d’artistes » insatisfaits)
Probablement parce que MOI je ne leur demande jamais rien
Brecker , Michael, celui qui de dix doigts réécrit le futur.
Horace le pique pour le mieux évaporer.
Le sang des sens, sans lequel aucun son n’est viable.
Position extrême sur le temps qui le fait vaciller

(Tout petit pouvoir régional mais courtisé d’importance)
Qui sont  récompensés.


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30 décembre 2006 6 30 /12 /décembre /2006 13:30










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30 décembre 2006 6 30 /12 /décembre /2006 12:58






Mais c'est à qui kon dit merci pour avoir ensoleillé votre année 2006 ?
Tous ces voyages virtuels et réels qu'Onk' Fifi vous a donné sans compter !
Mmmmmmmmmmmmmmmm....?
Quelle chance vous avez eu ! Si je pouvais je me remercierai et me feliciterais !
Mais non , ma désormais légendaire modestie m'empêche de le faire .
Et d'ailleurs, je vous interdit de le faire.


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29 décembre 2006 5 29 /12 /décembre /2006 14:20








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29 décembre 2006 5 29 /12 /décembre /2006 14:15







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