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22 février 2009 7 22 /02 /février /2009 00:17



Je rappelle pour ceux qui ne suivent pas et qui veulent
Absolument me rapatrier à l'insu de mon plein gré ,
Que je reste au Maroc jusqu'au 17 Mars !
Mon vernissage étant le 14 mars à L'institut Français.
Donc ce n'est pas parce que je prends une semaine de vacance
Tous les quinze jours que j'ai terminé ! même quand je ne travaille
Pas, je travaille ...! Et observer de près la vie et le trépas d'une langouste,
D'une douzaine d'huîtres ou de quelques oursins tout en me prélassant
Sur une plage de sable fin au bord de l'atlantique par 25 °
Fait partie intégrante de mon difficile métier.....

Voici une chiée de Cactus du jardin Majorelle
Ou j'ai été réflechir cet après midi.










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5 octobre 2006 4 05 /10 /octobre /2006 00:49



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5 octobre 2006 4 05 /10 /octobre /2006 00:07


Scarifications naturelles
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4 octobre 2006 3 04 /10 /octobre /2006 10:25


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4 octobre 2006 3 04 /10 /octobre /2006 00:30


Jacques est le fils de l’ébéniste Louis Majorelle, l’un des chefs de file de l’Ecole de Nancy. Ce courant Art Nouveau, célèbre dans le monde entier, fait de Nancy, entre 1885 et 1900, une ville où la création et la production artistiques sont en pleine effervescence. Emile Gallé, Louis Majorelle, Jacques Gruber, Antonin Daum, Victor Prouvé..., tous ces artistes verriers, ébénistes, peintres, contribuent au prestige et à la renommée de ce mouvement.

Jacques grandit dans cette mouvance. Il accompagne fréquemment son père dans ses ateliers et tout le destine tôt ou tard à y prendre part. Il est, à cet effet, inscrit en 1901 à l’Ecole des beaux-arts en section Architecture et Décoration.

Mais dès 1903, Jacques Majorelle affirme sa volonté de devenir peintre. Etudes à Paris, voyages en Espagne, en Italie, il s’éloigne peu à peu de Nancy. En 1910, ses envies d’ailleurs le mènent jusqu’en Egypte où il découvre le monde de l’Islam, ses couleurs, ses lumières, ses coutumes. Il y effectue trois voyages successifs jusqu’à la guerre en 1914. Cet exil volontaire lui permet de trouver sa voie, la rupture avec Nancy semble définitive.

C’est en 1917 qu’il se rend pour la première fois au Maroc afin de se remettre d’une maladie pulmonaire. Grâce à l’entremise de son père et du peintre Emile Friant, le général Lyautey, originaire de Nancy, facilite son installation.


En 1923, Jacques Majorelle fait construire une imposante villa de style mauresque Bou saf-saf, à la limite de la palmeraie. Il dessine les motifs des zelliges, ces mosaïques qui couvrent les murs, peint les vantaux de la porte d’entrée en cèdre de motifs géométriques bleu dur, vert et rouge sombre. Ces mêmes couleurs sont utilisées pour la décoration intérieure dont les références à l’art traditionnel marocain sont évidentes. Enfin une tour légèrement en retrait accentue le côté saharien de cette construction devant laquelle s’étale un grand bassin.

Autour de cette maison, il conçoit un jardin comme une immense oasis de verdure dans laquelle les espèces les plus extraordinaires, les plus luxuriantes s’épanouissent avec bonheur. Les volutes extravagantes qui ornaient à profusion les vases, les meubles, les vitraux de l’Ecole de Nancy auraient-elles à jamais marqué l’imaginaire de l’artiste? Toujours est-il qu’il ne cesse d’enrichir son jardin avec les essences les plus rares : 1800 sortes de cactées, fleurs tropicales, bananiers, fougères géantes et 400 variétés de palmiers envahissent l’espace répandant leurs parfums enivrants sur quatre hectares. Onze bassins de différentes formes rafraîchissent ce somptueux jardin.

En 1931, à l’opposé de la villa mauresque, il confie à l’architecte Sinoir la construction d’un atelier de style moderne dans lequel il se retire pour travailler.

En 1955, la villa familiale Bou saf-saf, entourée de son parc d’un hectare, fut séparée du restant de la propriété. Le jardin exotique de trois hectares qui entourait l’atelier de Jacques Majorelle fut alors ouvert au public. Par la suite ce vaste espace fut morcelé et certaines parties furent vendues.

Aujourd’hui, la villa Bou saf-saf appartient à Yves Saint Laurent et à Pierre Bergé. Ils ont permis sa restauration ainsi que celle d’une partie des jardins toujours ouverte au public.

L’atelier a été transformé en musée d’art islamique.

 


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4 octobre 2006 3 04 /10 /octobre /2006 00:00


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4 octobre 2006 3 04 /10 /octobre /2006 00:00

Entailles
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4 octobre 2006 3 04 /10 /octobre /2006 00:00


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4 octobre 2006 3 04 /10 /octobre /2006 00:00

Une sorte de pangolin vegetal
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3 décembre 2005 6 03 /12 /décembre /2005 10:19
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