21 juin 2005
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Pour une fois les féministes en seront pour leurs frais,
Veira Da Silva a complètement phagocyté et annihilé son mari
Arpad Szenes,grand peintre tellement discret et fragile,
François Mauriac disais en parlant de sa peinture:
"Une ligne de sable,un renflement de dune,/
Une frange d'écume et de varech,la mer..."