" BIBLIOTHEQUE FRANCOIS MITTERAND "

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L’autruche des Maldives (premier chapitre)

C’était 1 dimanche pluvieux, où les jours semblent des nuits,
                                  Nuits qui s'envolent dans les brumes de Persée.
                                                                                  Par la croisée antique, je pouvais
                                                                            Discerner dans ces paysages désolés, Hantés par quelques freux
                                                                      Corbeaux, des horizons sans fin qui Présageaient de la chute.

Usher me dit mon voisin, Ahmed, si c’est Usher ça m’intéresse
                   Lui retorquequ’je, Tu n’as pas de  Poe, Edgar, car je m’appelle
                                   Edgar (de Lyonvingtmille) la dernière chute qui me restait
                                                                                  Je l’ai vendue hier à L’argentine. Ah ! bon répondis-je interloqué


Et 2 laquelle s’agissait-t’il ?  Iguaçu... .Tant pis, ce n’est pas grave
La chute du net.(i-guaçu) ( c'est de l'humour)
                             C’est alors que Connors d’1 revers décroisé long de ligne
Musela le caquet de Björn.
(Je l’appelle Bjorn parce que c’est 1 ami  & j’aime bien aider
 Mes amis
En leur faisant 1 peu de pub)

Regagnant d’1 pas lent mon Chesterfield en agneau repoussé,
                   Me munissant 2 ma pipe en écume de mer offerte lors 2 là
                                               Dernière conférence du "Commandant" (un pote) au Musée de l’Homme
                                                                      En 1952, par André Malraux (1 ami) Bourrant cette dernière
Appelée familièrement Monika (une copine …2 cheval),
2 Scaferlati pour la pipe, extrait
Avec soin 2 ma blague du jour, je me demandi & me posi cetti
                                                                       Questi, mi qui sommes-ni & si ui Pourqui ?

J’eu soudain 1 (e) folle envie d’aller consulter & compulser
                            Quelques très anciens grimoires 2 mon immense bibliothèque
Emplie 2 livres qui m’ivrent & rive mon rêve sans fève,
                        ah ! sa petite Fève pleine de poils autour !
                                                                                                    Couille, couille !

Manipulant ces opuscules & autres fascicules
Avec 1 Manitou
                                                                                        D’appartement, 1 modèle que J ’ai fait spécialement construire
                                                                                         Pour commémorer L’événement 2 rien, je m’aperçus avec stupeur

Qu’il me fallait assécher ma plume d’oie du Gabon imprégnée
D’encre de Seiche mouillée
                                                          (du Pacifique sud -ouest mais presque).

Seiche qui mouillait en matant les couilles 2
                                                        l’oie suce/précitée.
Vers l’Océan me dirige-je d’1 pas sage & mesuré pour ne pas renverser
 Mon verre 2 Glendronach 30 ans d’age.



Fin provisoire, mais on ne sait…… ?


(Tu peux déjà acquérir 7 extrait 6 tu le souhaites)



Commentaire : ce que tu écris est si beau que j’ai envie de pleurer !
Sœur Anne

Réponse : Je comprends ta réaction,



 c’est ça aussi la force de l’écriture





Moi-même je pleure en me relisant.




 Salut sœur Anne



Commentaire :Ton style est inimitable, toutes ces couilles et ces chattes
C’est passionnant !où puis me procurer tes œuvres ?
 Squelette

Réponse : Je ne sais pas,


 je ne m’occupe pas de ces détails matériels,






Mes ouvrages sont publiés sur le net,





tu sais 1 truc ou on paye pour être édité en virtuel .






Salut Squelette.



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Comments

[P Charpentier]

A qui parles tu ? tu semble connaitre les auteurs et les blogs .... c'est vrai que j'ai l'impression d'avoir vu un blog comme ça mais ou ? mystere et boule de gomme.

[GdeB]

C'est très méchant, et je dirais pas qui tu as pastiché. Je suis en train de me demander si ce n'est pas toi l'auteur de tous ? J'ai pas fini.